Sunday, April 4, 2021

" The old fashioned way " ( plus your worst fears )

 


" The old fashioned way "

As for the rest of the pictures, it is just your worst fears I believe. Like your mates surprising you when Mom is taking your temperature. Like the return of the Balls Pacifier. Like being humiliated in front of the nurses.
Fornutately, you can always leave this nightmare, switch off your computer and let these unfortunate (18 or more) boys deal (not so well) with the situation, phiew !! : ) 
VIP members, it's in your mailbox full size and quality today.

There are more embarrassing & fun scenes, but it will be in next update : )

Until then,

 ̶B̶e̶s̶t̶  worst always ,

AleX

23 comments:

  1. Thanks Alex, good stuff to add to the library. Keep well, Mike.

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    1. Glad it has found its way to your collection : )
      Have a good Sunday Mike, best

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  2. Sitting on the couch, pants and underpants around your ankles. Your worse fear is about to happen, she is going to use that hairbrush soundly on your bare bottom. Jack

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    1. Exactly the next scene indeed.

      Sometimes I wish I was making movies rather than pictures ; )

      Have a good day Jack!

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    2. I will add that I was caught playing with myself, I was renting a room, in college, one bathroom, a female tenant caught me, told the lady of the house. I was not sitting on the couch I was standing before her and was given a choice, her punishment, or move out. Well the female tenant heard the spanking, then saw me facing the wall. I once being allowed to leave, said I was sorry to the landlady, and she said, I will be spanked from now on. I agreed, and was. Nothing sexual, just a sound spanking that had me kicking and squirming like a little boy. Jack

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  3. Bonjour Alex.
    Comme cela avait du bon l'éducation à l'ancienne.
    Pour les garçons en tout cas car cela nous conditionnait à respecter et obéir à l'autorité féminine sans rouspéter.
    Je n'ai hélas pu bénéficier d'une telle éducation jusqu'au bout car né à une époque où cela commençait à être mal vu, cela a fini par être interdit.
    A la maison papa me donnait régulièrement la baguette sur les fesses nues et maman assistait à la séance de correction.
    Ils disaient que c'était pour me rendre meilleur et avec le recul je me rends compte qu'ils avaient raison et grâce à eux, je suis maintenant un passionné de votre blog.

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  4. Bonjour Alex,

    Jeune ado, je me souviens avoir eu honte de me déculotter devant une infirmière libérale venue me faire des piqûres d'antibiotiques pour une bronchite. Ma Maman assistait à l'injection puisqu'ensuite elle me mettait des compresses d'eau tiède dessus pour atténuer la douleur. Mais je me pliais à cela sans caprices. D'autant que ma Maman avait un caractère assez autoritaire bien que très "Mère-poule". Et je me retrouve bien dans les saynètes ci-dessus. En effet, les infirmières, ces merveilleux "Anges de guérison" comme je les surnomme, ont toujours fait partie de mon quotidien en raison de ma très mauvaise santé (maladie héréditaire grave). Et quelques années plus tard, avec l'âge, ce fut gênant encore car l'infirmière était une Dame aux formes généreuses et toujours en jupe plissée et chignon strict et, les hormones aidant, je craignais d'être dans une situation plus que délicate que l'on devine aisément. Et je me suis parfois imaginé être fessé sur ses genoux pour cette raison. Ce qui n'eut jamais lieu. Ma mère m'aurait administré une cuisant fessée déculottée sur ses genoux. Ah, souvenir, quant tu nous tiens...
    Merci pour ces pépites. Bonne semaine. Charles.

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    1. Une situation fort gênante avec ce type d'infirmières... On se sait plus très bien si on aurait souhaité ou non vivre ce genre de cauchemar ; )

      Bonne semaine également

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    2. Bonjour Alex.
      Le cauchemar aurait été de faire le gros bâton, car c'est un signe évident de vilaines pensées impossible à cacher lorsque l'on est nu.

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    3. Bonjour Mr Anonymous,

      Contrairement à vous, c'était toujours ma Maman qui exerçait l'autorité parentale. Car mon père travaillait en horaires décalés et en équipe. Et comme elle avait un fort caractère un brin autoritaire, elle administrait elle-même les fessées. Parfois, elle nous menaçait (sans le donner !) du martinet, qui était accroché derrière la porte vitrée de la cuisine, entre son tablier et l'Almanach des Postes !!! Que tout cela est loin à présent...
      Amicalement. Charles.

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    4. Bonjour Charles.

      Je me souviens de maman en train de me dire "je dirai à papa ce que tu as fait, gare à tes cuisses" et j'étais alors rempli de regrets de m'être mal conduit avant même de recevoir la sévère correction comme quoi en matière de dressage du sâle garçon que j'étais le côté psychologique était aussi pénible à endurer que le moment de la raclée mais je dois dire que cela a marqué mon caractère car j'aimerais bien rencontrer une compagne stricte et dominante.

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  5. Bonjour Alex. Many thanks for sharing your recent works.

    My overall favourite is the three-months-in piece, depicting an attractive mother's firm grasp, the Harry Potter tee shirt suggesting he is a rather immature Mummy's Boy utterly subservient to a domineering matriarch who has full and intimate control over all aspects of his upbringing.

    In the poster-boy piece, the bared arm mother has a no-nonsense attractiveness and I'm sure she takes a strict interest in her boys'-bits reactions to fantasies engendered by the superheroine poster positioned above his bed.

    I really love the period-piece, three generations dynamic suggested by the image in which a pleased-with-herself mother shares with grandmother how well strappings are having an effect. I can imagine myself, hormonal, being hand-spanked over that grandmother's fulsome lap, making inappropriate emissions and suffering acutely for it when, in consequence, the mother energetically applies the strap.

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    1. Excellent description of what I had in mind when I made these scenes. Thanks to your message I know the pictures are well made and eloquent : )

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  6. I comment this one with delay (sorry !).

    Waiting like that (before or after the punishment) while mommy/aunty is making a long phone call with grandma/a neighbour/friend, chatting gleefully about what is happening, should be absolutely awful.

    I love the vintage aesthetic of this household. The post-war years seem so peaceful and « domestic » !

    However, I must say I prefer when the boy is only bare from the waist down (rather than totally naked). In my opinion, bare from the waist down has something more ridiculous, childish, and punitive than totally naked (which has a sexual connotation, thus an adult aspect, which is thus less degrading paradoxically). Bare from the waist down also creates a contrast between the clothed upper body and the bared lower body, which seems to me more embarrassing…

    But it’s just my personal tastes. Thank you for your work !

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    1. The post-war years (40s and 50s) is my favorite setting as well. The esthetics, the family values, the absence of naked ladies on TV / internet...

      You are not the first person who told me you prefer only bare from the waist down, I see the point : )

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  7. Of course, total clothing deprivation is preferable. Reduce him to a completely broken state. Never been more humiliated. And the horror of a whopping, rock hard inadvertent erection will be fully on view. This illustration is brilliantly evocative. He stands there, baring his large behind, hands on hips, knowing it is coming…

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    1. The inadvertent erection could be the worst of all : /
      How come? No excuses for that

      (glad you come back to this place from time to time... It will surely pay off this Autumn ; )

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  8. Such nice hard spankings of the boys

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  9. J'aime beaucoup "Desperate negociation". Aussi, l'interview d'une infirmières qui se charge de la mise en place du Ball Pacifier, Emilie Dubois :

    Journaliste : " Les jeunes hommes viennent eux-mêmes se le faire mettre ?"

    E.D : "Dans un monde idéal (rires). Aucun garçon ne se présente de lui-même. Ce sont les mamans qui se présente au centre. Nous les convainquons de l'efficacité du produit, puis elles reviennent avec leur fils."

    J : "Pourquoi ces mères viennent elles au centre ?"

    E.D : " En général, elles surprennent leur fils dans une situation très embarrassante. Je ne vais pas vous faire un dessin, mais vous savez bien qu'un jeune homme avec des hormones en ébullition se livre à des pratiques solitaires."

    J : "L'objectif est donc d'empêcher ça ?"

    E.D : " Oui, mais jamais sans raison. L'une des causes de la mise en place de cet objet est la réussite scolaire. Par exemple, pour un jeune s'engageant dans de longues études. La mère sera plus rassurée de savoir que son fils demeura chaste et concentré sur ses études."

    J : " En quoi ces pratiques empêchent la réussite des études ?"

    E.D : " La masturbation entraîne une distraction mentale, une baisse de motivation, une interruption des sessions d'étude et enfin une dépendance psychologique car le jeune préfère consacrer son temps à des activités immédiatement gratifiantes.

    Le sexe n'est pas mieux, l'acte sexuel pénétratif peut avoir un impact plus important sur la concentration pour les études que la masturbation. Il demande plus d'énergie physique, peut causer des sentiments émotionnels intenses et perturber le sommeil, ce qui peut rendre difficile la concentration le lendemain.

    J'explique également aux mamans l'importance de la virginité lors de l'utilisation du Ball Pacifier. Nous les préférons puceaux. Cela permet une adaptation plus harmonieuse, sans les nostalgies liées aux expériences sexuelles passées."

    Témoignage d'une mère accompagnant son fils :
    "Mon fils vient d'avoir son bac et va entamer des études en école d'ingénieur. Il est encore puceau, et j'ai appris alors l'importance qu'il le reste pendant les 5 ans du cursus. Ces années ne seront pas faciles, à un âge où l'on profite de la jeunesse pour découvrir la sexualité, mais tant pis. Malgré ses pleurs et négociations, je ne prendrais pas le risque qu'il pénètre une fille et subisse ensuite toutes les conséquences émotionnelles, relationnelles et les risques pour la santé qui en découlent."

    Superbe image Alex ! J'adule votre travail ! Le côté intransigeant de la mère, bras croisé et visage rigide, le sourire satisfait de l'infirmière qui condamne un jeune de plus à de la virginité contrainte, le découpage propre de chaque personnage, l'affiche explicative derrière, etc... Sans doute le top 3 des meilleures images du site pour moi !

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  10. "Scared young bully" est une image fantastique ! Un simple rappel à l'ordre n'aura pas suffit au garçon, qui a continué ses approches désastreuses envers les filles. Le visage sérieux et imperturbable de l'infirmière qui se concentre sur la seringue révèle qu'il est tout simplement inutile de négocier quoi que ce soit !

    Dans l'ombre blafarde de la salle, un garçon téméraire,
    Face à l'infirmière, son visage impassible et sévère.
    Malgré l'avertissement, il persiste dans ses affaires,
    Mais devant la seringue, tout désir s'évapore en poussière.

    Pas de quartier, pas de compromis, juste la dure loi,
    Son imperturbabilité ne laisse place à aucun émoi.
    Dévêtu de tout, exposé, sans aucun pouvoir,
    Il se retrouve là, vulnérable, sans espoir.

    À genoux, les coudes au sol, sa dignité est écornée,
    Dans cette position humiliante, son orgueil est piétiné.
    Il voulait conquérir, séduire, mais voilà sa destinée,
    Dans l'attente d'une sentence qu'il n'avait jamais imaginée.

    Pas de plaisir charnel, pas de douce compagnie,
    Juste lui, seul face à son tourment, dans cette longue agonie.
    La vie, parfois cruelle, lui offre une autre mélodie,
    Dans cette salle médicale, son destin prend un autre récit.

    Ainsi va la vie, imprévisible, pleine de surprises,
    Lui qui rêvait d'une autre passion, doit affronter sa propre crise.
    Pas de fille à séduire, juste lui, dans cette mise,
    La leçon est dure, mais peut-être, au fond, salutaire entreprise.

    Bravo Alex !

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  11. Quelle prose! Tout est dit : )
    BRAVO

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  12. Parlons un peu de "Three months routine checking". Après la pose du fameux Balls Pacifier, le jeune fan d'Harry Potter n'a plus la possibilité de jouer avec sa baguette.
    Le voilà donc en tant que moldu, ignorant alors le monde magique du sexe.
    Sa mère veut sans doute le préserver du baiser des détraqueurs ?

    Quoi qu'il en soit, elle préfère voir son fils rêver de cet univers fantastique plutôt que de l'imaginer faire des choses plus adultes. Enfin bon, il n'a que 19 ans tout de même, c'est encore un mioche qui ne connaît rien à la vie.

    Une mamone totalement sous contrôle, une mère qui n'hésite pas à vérifier chaque jour les éventuelles fuites directement sur le pénis mais également les possibles traces dans le slip. Voilà une intransigeance remarquable !

    Bien évidemment, les inspections peuvent se faire à n'importe quel moment de la journée : le matin avant la fac, le soir après manger ou avant de dormir, et même dans n'importe quel lieu.

    Et à force d'examiner tout cela, il est naturel qu'elle connaisse dorénavant par cœur la forme des bourses. Il est inutile d'essayer de la duper !
    Le pauvre jeune homme n'est pas près pour le reste de sa vie.

    Belle œuvre Alex. Parfaitement réalisée.

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    1. Mais connaissez-vous l'effet inattendu de ces palpations répétées des bourses par la Maman, pendant la période critique du développement où " la chenille se transforme en papillon "?

      Les spécialistes parlent " d'Oedipe Irriversible ". Le corps exige d'ensemencer là où il a été conçu, l'inconscient ordonne au jeune homme de se faire " déniaiser " seulement par La Seule...
      Quand bien même ces injonctions lui font horreur.
      Au point de l'empêcher d'approcher un autre corps féminin, quand bien même sa frustration est immense?

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